Centre Régional d’Art Contemporain Occitanie
Situe à Sète, au bord du Canal Royal et en cœur de ville, le Centre Régional d’Art Contemporain Occitanie fait face au port et à la Méditerranée. Les volumes exceptionnels de son architecture renvoient à la nature industrielle du bâtiment, à l’origine entrepôt frigorifique pour la conservation du poisson. En 1997, l’architecte Lorenzo Piqueras réhabilite le bâtiment d’origine pour lui donner sa configuration actuelle, et en faire un lieu d’expositions exceptionnel de 1 200 m2, répartis sur deux étages.
Lieu dédié à la création, le CRAC propose une programmation d’expositions temporaires, édite des catalogues d’exposition et développe un programme culturel et pédagogique dynamique qui s’adresse à tous les publics à travers visites guidées, ateliers, conférences, concerts, performances…
Situe à Sète, au bord du Canal Royal et en cœur de ville, le Centre Régional d’Art Contemporain Occitanie fait face au port et à la Méditerranée. Les volumes exceptionnels de son architecture renvoient à la nature industrielle du bâtiment, à l’origine entrepôt frigorifique pour la conservation du poisson. En 1997, l’architecte Lorenzo Piqueras réhabilite le bâtiment d’origine pour lui donner sa configuration actuelle, et en faire un lieu d’expositions exceptionnel de 1 200 m2, répartis sur deux étages.
Lieu dédié à la création, le CRAC propose une programmation d’expositions temporaires, édite des catalogues d’exposition et développe un programme culturel et pédagogique dynamique qui s’adresse à tous les publics à travers visites guidées, ateliers, conférences, concerts, performances…
Ouvertures :
- Vendredi 29 novembre : 16h-18h – Ouverture du parcours OVNi à l’hôtel
- Samedi 30 novembre : 14h-19h
- Dimanche 1 décembre : 14h-19h
Un ciel couleur laser rose fuchsia
Valérie du Chéné et Régis Pinault
Durée : 28 minutes
Année : 2019
A propos de l’oeuvre et des artistes :
C’est l’histoire d’un millefeuille, une ville frontalière avec l’Espagne dont l’écartement des rails est différents, Cerbère. De haut en bas, le fantôme est l’Hôtel Belvédère du rayon vert à l’époque des transbordeuses d’oranges. Une mélodie à trois notes sort mystérieusement de la rambarde métallique surplombant la mer, le chant des sirènes. La mémoire collective peut parfois se transformer en mythologie. Les scènettes enchâssées les unes dans les autres, telles des poupées russes suscitent un suspens de pierres. Il est intéressant de voir comment on se débrouille pour traverser cette forêt Amazonienne. Et patati et patata.