Le 109 - Grande Halle - Traverse
La Ville de Nice a engagé en 2008 un projet de reconversion des 18 000 m2 de ses anciens abattoirs en un pôle de cultures contemporaines. Cette mutation a commencé par l’installation du collectif d’artistes – La Station qui défend l’art contemporain par la production et l’exposition. La mission de réflexion mise en place par la Ville, le Chantier Sang Neuf, a été concrétisée par la création et l’aménagement de lieux accueillant diverses actions de productions, de résidences et de manifestations temporaires, jusqu’en 2015. Aujourd’hui, 29 ateliers municipaux de plasticiens, le Forum d’Urbanisme et d’Architecture, l’Entre-Pont (fédération d’une quarantaine d’associations de spectacles vivants), la compagnie de danse Antipodes, le réseau d’art contemporain Alpes et Riviera Botox[s] et le syndicat des architectes de la Côte d’Azur (SACA) y sont également implantés.
Le 109 se positionne désormais comme une interface essentielle à la création contemporaine à Nice et pour son rayonnement, par la coordination des actions menées sur le site et par une programmation riche et ambitieuse dédiée aux problématiques culturelles, artistiques et sociétales de notre époque.
Ouvertures :
- Vendredi 22 novembre : 13h-19h
- Samedi 23 novembre : 13h-19h
- Mercredi 27 novembre : 13h-19h
- Jeudi 28 novembre : 13h-19h
- Vendredi 29 novembre : 13h-19h
- Samedi 30 novembre : 13h-19h
Non pasa Tèmps, que no Revengue!
Aurore Balsa
Année : 2019
A propos de l’oeuvre et de l’artiste :
7 jours, Printemps 2018, n°6-7 rue Rosseti, Nice, aux alentours de midi.
Nos corps voyagent à travers différents espaces et confrontent notre environnement. Ceux-ci en fonction des époques, mêlent des notions de vie privée, vie publique, urbanisme et féminisme. Non pasa Tèmps, que no Revengue! propose d’explorer et de vivre ces changements.
à retrouver dans la Traverse du 109
The ballad of forgotten places
Botto & Bruno
A propos de l’oeuvre et de l’artiste :
L’installation est conçue comme un espace dans lequel le public peut librement entrer et déambuler, immergé dans un paysage suburbain oxydé et vieilli. Au centre de l’installation, un ouvrage recueille les images produites ou rassemblées par les artistes : des prises de vues de nombreux lieux aujourd’hui disparus, transformés, oubliés, endroits marginaux, zones industrielles ou jardins urbains situés à la périphérie de la ville.
Prêt de la Fondation Merz
à retrouver dans la Grande Halle du 109
A moon for my father
Mania Akbari et Douglas White
Avant première du film le vendredi 22 novembre à 20h
En présence des artistes
A propos de l’oeuvre et des artistes :
Mania Akbari et le sculpteur britannique Douglas White explorent les processus de destruction et de renouvellements physiques et psychologiques. Akbari explore le lien entre son corps et l’histoire politique de l’Iran, par la relation entre ses propres traumatismes physiques et la mémoire politique collective de son lieu de naissance.
Prêt de The (He)art for (He)art Program
à retrouver dans la Grande Halle du 109