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MAC ARTEUM 2019

MAC ARTEUM

Au croisement des champs et des pratiques artistiques, le Mac Arteum se caractérise par un soutien à la création contemporaine par l’aide à la production tous mediums confondus, l’expérimentation, l’accueil en résidence, les expositions, dans un rapport au territoire et à une filiation qui caractérise l’histoire du lieu. Programmation, rencontres et échanges, tables rondes, actions de médiation et ateliers de pratique artistique, workshops, accueil des scolaires, collaborations engagées et actions menées, s’adressent à tous les publics et ont aussi pour objectif de créer un terreau fertile à l’éducation des plus jeunes et d’impulser leur intérêt.

Ouvertures :

  • Vendredi 29 novembre : 16h-18h – Ouverture du parcours OVNi à l’hôtel
  • Samedi 30 novembre : 14h-19h
  • Dimanche 1 décembre : 14h-19h

AVANT QUE J’OUBLIE , Gaëtan Trovato, 2016
AVANT QUE J’OUBLIE , Gaëtan Trovato, 2016

AVANT QUE J’OUBLIE
Gaëtan Trovato

Durée : 5 minutes et 55 secondes

Année : 2016

A propos de l’oeuvre et de l’artiste : 

Behna Films a été l’un des acteurs de la scène égyptienne du film entre les années 1930-1950. Pourtant, la société fait faillite dans les années 60 après sa nationalisation sous Nasser. Après de nombreux procès, les héritiers de la société obtiennent gain de cause et restaurent le siège de Behna Films pour en faire un lieu dédié aux cinéastes indépendants d’Alexandrie. Le film est une déambulation dans cet espace dans lequel des figures extraites des films produits viennent se mouvoir telles des âmes errantes.

LES DOLÉANTS, Gaëtan Trovato, 2019
LES DOLÉANTS, Gaëtan Trovato, 2019

LES DOLÉANTS
Gaëtan Trovato

Durée : 6 minutes

Année : 2019

A propos de l’oeuvre et de l’artiste : 

Comment saisir un état, une photographie sociale et subjective d’un lieu ? Comment saisir la conscience collective ? Il s’agit ici de convoquer par le son et les images une forme de récit expérimental où tout semble s’être subitement arrêté, où la lutte ne semble plus tenir qu’à un fil. Par un vide et la manipulation des images, une sensation de flottement émerge, comme notre incapacité à rester les deux pieds ancrés dans la terre. Un vaste marché couvert devient la représentation d’un monde à part entière. Dans notre conscience et dans une forme de fatalité de notre condition, nous errons dans nos villes et nos rues sans toujours savoir nous en saisir.